NYC (part four)
Quatrième jour, le jour des touristes typiques.
Rien de vraiment super excitant Downtown en fait... Wall street, impossible vraiment de s'approcher, il y a la police partout, des barrieres partout, c'est rigolo c'est minuscule en fait comme rue et dire que l'argent de la planète circule ici...
Ça c'est ce qu'il reste des deux tours, un grand chantier du grillage avec des baches vertes trouées pour voir comment c'est derrière... Et puis le projet qui va être à la place.
Halte a Battery Park. Une queue énoooorme pour aller visiter la statue de la liberté.... vraiment énorme, ça épuise de voir tout ce monde attendre au soleil, je me vautre sur une pelouse et ronfle quelques minutes. je pourrais dire plein de choses vraiment bien à propos des parcs de New York, non vraiment, il y fait bon se vautrer sur des pelouses, pas toujours mais tout de même des espaces sont ouverts pour cela, il y a toujours plein de bancs, voire des petites tables pour pique niquer, passer du bon temps avec son ordi portable ou jouer aux dames, aux échecs et des toilettes (ça c'est super important !). Le nombre de personnes qui se promènent avec son portable c'est complètement stupéfiant ! Et tranquile là dans les parcs et tranquiles dans les Starbucks, pas vraiment inquiet à se demander si ya un p'tit con qui va venir les faire chier. Il ya aussi tout plein d'écureuils. Les même qu'ici là tout moche tout laid plein partout et nourrit par les passants, grrrr !
Donc je profite d'une pelouse pour me laisser aller à un petit somme...
On trainouille du côté du port et des quais... Le ciel a une drôle de couleur, le vent s'est levé, on va se faire rincer sévère !!!
Ce soir c'est concert gratis au Pier 17. Une minuscule scène pour accueillir Taka Taka, The forms et The National. Le cadre est assez dément, les gratte ciel et les trois mats se mélangent, c'est presque la mer mais d'eau douce. Le ciel est noir et le vent tourne.
Il pleut, les parapluies montrent le bout de leur nez et les peu prudents comme nous ralient la galerie marchande, les musiciens ne jouent plus. Les nuages passent. Et il pleut à nouveau. Les deux premiers groupes n'auront le temps que de jouer deux morceaux chacun et il pleut à nouveau. Ça soule et puis crotte à la cinquième de the National on fout le camp. De toute manière j'aime pas comment il chante le monsieur !
Comme un gout de route du rock mais la boue en moins hein :)
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