grippe de Montréal.
Voilà, il nous a attrapé. Pourtant avec les habitudes québecoises de rigueures pour la saison, vitamines, compléments de plantes et pollen, blablabla, je pensais pouvoir faire la fière, me vanter d'être solide comme... comme. Et bien non. Ce sale virus m'est tombé dessus mercredi dernier, avec doses de fièvre dans les petits muscles et plein le dos. C'est top surtout quand tu passes huit heures assis. J'avais pas l'air maligne à claquer des dents alors que la température ambiante est plutot chauffage à fond dans les locaux. J'ai dailleurs compris pourquoi il fallait s'acheter une "North Face"... pour être en teeshirt (merde un mot anglais !) dessous et ne pas mourir tout sec et déshydraté au travail. Ah ben super. Enfin moi j'avais pas la niac, voire, ça n'allait pas du tout. Le datamanager, québecois de souche sans doute, me conseille alors vivement une recette ancestrale : un fond de gin, un demi citron pressé et une pomme rapée. Ah. Peut être que je la préfère à la méthode Reimoise ? Ou bien alors, version plus soft de Monique, québécoise depuis des lustres également, soupe de poulet, voire faire tremper une vieille carcasse de la dite volaille dans un bouillon de légumes. Ah. Je rentre, avale un aspégique 1000 et file au lit. Méthode zann. Je ne sais pas ce que ça vaut, mais le lendemain je n'ai plus de fièvre, juste le nez qui coule drôlement. C'est parti pour trois jours de tête dans le mucus morveux et les narines qui pèlent. Co me suit de près et fais des bulles avec le nez, rentre le soir avec de la fièvre aussi. Ce week-end on reste au lit. Ca tombe bien y'a rien à faire, plus de neige, pas assez de ciel bleu. On se chamaille avec Max, je fais des dessins pour le petit projet de la vidéo :) et on se baffre de crumble. Y'a une justice !
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